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Le marché parisien a ouvert hier en hausse, avant de faire machine arrière rapidement. Outre la descente du baromètre IFO du moral des investisseurs allemands, la place a été tirée vers le bas par les banques françaises.
Celles-ci ont été victimes de prises de bénéfices, dans la foulée des résultats sans surprise des tests de résistance européens de la Banque Centrale Européenne. L'ouverture en baisse de Wall Street n'a pas aidé non plus la cote à redresser la barre.
A Wall Street, la Bourse de New York a terminé en légère hausse à l'issue d'une séance hésitante, restant sur la réserve au début d'une semaine chargée entre résultats, indicateurs et réunion de la Banque Centrale Américaine : le Dow Jones a grignoté 0,07% pour terminer à 16 817 points, le Nasdaq 0,05% à 4 485 points et l’indice élargi S&P 500 a baissé de 0,15% à 1 961 points.
Du côté des valeurs, le secteur bancaire a donc reculé, même si les banques françaises ont passé haut la main les tests de résistance.
BNP Paribas a ainsi perdu 1,25% à 48,89 euros, Crédit Agricole 0,98% à 11,61 euros, Société Générale 2,76% à 37,77 euros et Natixis 2,25% à 5,43 euros.
Air France-KLM, qui doit publier ses résultats mercredi matin, a nettement reculé (-3,02% à 6,56 euros), après des informations de presse évoquant de possibles nouvelles réductions de coûts, mais démenties par le groupe.
Numericable a été très recherché (+5,49% à 48,12 euros), après avoir pourtant subi une perte nette de 94,4 millions d'euros au troisième trimestre contre un bénéfice de 12,8 millions un an plus tôt, liée au financement du rachat de l'opérateur SFR pour lequel l'Autorité de la Concurrence a par ailleurs donné lundi son feu vert.
Sur le Forex, l'euro avançait face au dollar, dans un marché rassuré par les tests de résistance encourageants des banques européennes.
Vers 21H00 GMT, la monnaie unique européenne valait 1,2699 dollar, contre 1,2666 dollar vendredi vers 21H00 GMT.