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Selon le Wall Street Journal, les deux premières puissances mondiales travaillent à un éventuel accord qui donnerait aux entreprises américaines un meilleur accès au marché chinois. Selon le Financial Times, Pékin propose d’acheter plus de semi-conducteurs américains afin de réduire son excédent commercial avec les États-Unis. Plus tôt, Steven Mnuchin le secrétaire américain au Trésor, s’est déclaré « prudemment optimiste » sur la probabilité d’un accord entre les deux pays.
Pour Chris Beauchamp, chef analyste marché chez IG à Londres, « la décision des États-Unis d’exempter ses principaux alliés de nouveaux tarifs douaniers montre que la Maison-Blanche n’est pas aussi dogmatique que le laisse penser sa rhétorique, ce qui devrait donner une certaine marge de manœuvre aux négociateurs. Cependant, au vu de la mauvaise réaction des actions la semaine dernière, un échec des négociations risque de provoquer un nouveau courant vendeur fort ».
Le Dow a enfoncé en clôture le plus bas de février alors que le SP500 en était tout proche. Le ratio Put/Call a atteint des niveaux d’extrême pessimisme, ce qui est considéré comme un indicateur contrarien et suggère un potentiel rebond à court terme sur les indices. Les prochaines résistances sur le SP500 sont visibles à 2650 puis 2695, tandis que l’indice trouvera du support à 2580 (bas de février en clôture) , puis 2530 (bas de l’année en intraday).